Top 3 des erreurs à ne pas commettre pour choisir une tombe

Un choix de son vivant ou une responsabilité lors d’un décès d’un proche, choisir une tombe n’est pas un acte anodin. La dernière demeure d’un être cher doit être méticuleusement choisie, car ce sera le lieu de recueillement de ses proches, mais également un dernier hommage qu’on lui fait. Seulement, il faut se conformer aux règles et éviter les impairs.

Savoir choisir le bon modèle de tombe

Premièrement, il ne faut jamais penser que choisir la dernière demeure d’un proche est dérisoire. C’est une mission à prendre au sérieux. Quand on a pour responsabilité l’organisation des obsèques, comprenant également le monument funéraire, il ne faut pas seulement vous focaliser sur le prix et sur le budget. De toute manière, vous avez des sites comme celui de France Tombale qui permet de choisir la tombe à prix compétitif. En commander un requiert un choix sur le modèle, ainsi qu’un devis au préalable.

Sachez que vous devez suivre les dernières volontés du défunt s’il en avait émis de son vivant. Ne pas se référer à la personnalité du défunt est une bévue, c’est considéré comme une trahison de sa mémoire et un refus à lui consacrer un dernier hommage, mais la loi est indiquée dans ce sens. Sachez aussi que parmi les matériaux dans lesquels sera confectionné le monument funéraire, il ne faut pas seulement vous fier au design, sachez qu’à chaque climat et à chaque région sa matière.

Considérez certains paramètres

S’il y a des paramètres à prendre en compte quand il s’agit de choisir un monument funéraire, la religion est un des plus importants. Ainsi, une sépulture chrétienne est différente de celle d’un juif ou d’un musulman. Évitez d’ignorer ce point au risque de froisser certaines personnes, voire toute une communauté.

Sachez également que des cimetières adoptent une certaine « harmonie architecturale ». Ne vous précipitez pas à commander un monument funéraire, renseignez-vous au maximum sur les réglementations de la commune et des responsables du cimetière. Certes, la personnalisation d’une sépulture est libre, toutefois, elle doit rester dans une certaine norme, sans frôler l’ostentatoire.

Des détails à ne pas négliger

Quand on choisit une tombe, ce qui fait son identité, ce sont les inscriptions. À part d’identifier le défunt, ces inscriptions servent à conserver sa mémoire, à exprimer l’attachement de ses proches. Essentiellement, il y aura le nom et prénom du défunt, sa date de naissance et celle de son décès, des citations, des messages personnels ou autres. Seulement, beaucoup ignorent qu’il faut soumettre ces inscriptions auprès des autorités, comme le stipule l’article R. 2223-8 du Code général des collectivités territoriales. En effet, il est dit que : « aucune inscription ne peut être placée sur les pierres tumulaires ou monuments funéraires sans avoir été préalablement soumise à l’approbation du maire ».

Fleurir cet endroit suit également certaines codifications. C’est surtout la sépulture chrétienne qui peut être fleurie. Ainsi, les modèles peuvent être dotés d’un vase ou d’une petite jardinière. Si dans certains pays musulmans, il est rare de voir des fleurs sur les monuments funéraires, en France, la tradition a évolué et certains peuvent être fleuris. Les sépultures juives sont, par contre, dépourvues de fleurs et les modèles sont souvent épurés, sans autres accessoires ni autres décorations.